Une majorité d’eurodéputés ont décidé de laisser à la Commission européenne une totale liberté dans l’attribution de 190 millions d’euros visant à soutenir le secteur de la banane dans dix pays de la zone Afrique-Caraïbes-Pacifique (ACP). Le traité de Lisbonne leur garantit pourtant un pouvoir dans la définition des choix stratégiques de financement de la coopération au développement. Un droit de regard démocratique que le Parlement décide donc d’abandonner… Réactions d’Eva Joly et Catherine Grèze, membres de la commission Développement.
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